Confidences de Maîtresse

Je suis Maîtresse, le soir quand je domine au téléphone Rose, j'aime qu'on devienne mon esclave sexuel. Je peux alors faire ce que je veux avec mon soumis.

J'adore le ligoter sur une grille en fer posée sur deux tréteaux. Constituée de barres d'acier espacées de quinze centimètres, elle me sert à l'origine pour la protection d'une porte vitrée. Il s'allonge dessus, sur le ventre, position peut confortable, me permettant d'accéder à sa verge, ses tétons ainsi que son cul.

Fixé solidement bras et jambes, testicules et seins alourdis par des poids, j'affectionne à accentuer son humiliation en le forçant à respirer une de mes chaussures à forte odeur de pieds.

Je le laisse mijoter ainsi pendant au moins une demi-heure, tan­dis que je vais prendre un bain. Quand j'ai terminé, je reviens pour m'occuper de son cas.

Les divertissements commencent par un réchauffement « cul »inaire, j'attrape ainsi soit un martinet ou soit une cravache, tout dépend de mon humeur… La peau devient vite rouge. Quel réjouissement…
Je n'oublie pas au passage de donner quelques coups sur son sexe qui est devenu tout raide entre temps et de tirer sur les poids qui allongent tétons et testicules.

Après une telle correction, mon esclave doit me remercier de m'être bien occupée de lui. Ainsi, je lui permets de me regarder me masturber devant un film porno cela me provoque d'ailleurs plusieurs orgasmes.

Ensuite, je reviens auprès de mon soumis pour terminer la séance. Je lui demande si la position est confortable. Bien sûr, il me répond que non. Les barres d'acier lui meurtrissent le thorax et les cuisses.

Je me saisis d'une bougie que j'allume pour lui faire couler de la cire dessus. Je commence par le dos puis je descends sur les fesses. Immobile car bien ligoté, il se raidit sous la douleur, la peau étant plus sensible sous l'effet de la fessée. La cire coule et se fige dans sa raie. Je fais en sorte de ne pas oublier son anus en écartant bien son cul. Le spectacle m'amuse beaucoup. Il m'arrive aussi d'en faire couler sur son gland décalotté, ce qui a pour effet d'accentuer son érection.

L'été, je remplace la bougie par une friction d'orties. C'est encore plus douloureux pour lui. Tenant une branche avec mes gants, je parcours son corps, sur le dos, les fesses, insistant sur les parties de son corps les plus sensibles. Mon plaisir grandissant en l'observant se tordre de douleur, je me saisis alors de sa queue pour le branler. Après quelques va-et-vient, il ne tarde pas à éjaculer sur le sol.

Aussitôt je le détache et l'oblige à lécher son sperme et nettoyer le carrelage avec sa langue. Ensuite, il me lèche les chaussures pour me remercier de toutes mes bontés…

Aussitôt je le détache et l'oblige à lécher son sperme et nettoyer le carrelage avec sa langue. Ensuite, il me lèche les chaussures pour me remercier de toutes mes bontés…

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